“Le statut de la Cour pénale internationale a été ratifié dans le droit brésilien, mais de nombreux, y compris les plus puissants, n’ont pas fait cette démarche. Le Président Lula a souligné qu’il existait un déséquilibre entre les pays qui adhèrent à la juridiction de la CPI et ceux qui n’y adhèrent pas, comme les États-Unis, la Chine ou d’autres [..] La diplomatie brésilienne pourrait reconsidérer son engagement envers cet accord, car il n’y a pas d’égalité entre pays dans l’application de cet instrument”, a ainsi expliqué Flavio Dino.
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