Depuis le début de ces grèves intempestives au sein de l’hôpital Gabriel Touré, les patients deviennent des victimes collatérales. Au-delà du refus de travailler, certains agents se permettent de chasser les malades de la structure hospitalière. Cette pratique fait honte à ce métier noble.
Face à cette situation préoccupante, nous nous demandons que veulent ces grévistes?
Ont -ils l’amour pour ce pays , sont -ils des vrais patriotes au service de la nation ?
Les plus hautes autorités maliennes doivent prendre toutes leurs responsabilités pour gérer cette crise de façon définitive car la population souffre le martyr.
Dans notre pays le syndicalisme fait place à l’anarchisme, une véritable honte pour le mouvement syndical au Mali.
Bokoum Abdoul Momini /maliweb.net