Un communiqué du procureur de Nouna a précisé « que la plupart des victimes, toutes de sexe masculin, ont été tuées par balles ».

« Ce drame se produit à un moment où le Burkina Faso a engagé une opération de mobilisation de l’ensemble du peuple pour une unité d’actions dans la lutte contre le terrorisme », a noté le porte-parole du gouvernement, Jean Emmanuel Ouédraogo.

Le Burkina Faso est confronté depuis 2015 aux attaques de groupes jihadistes liés à Al-Qaïda et à l’Etat islamique qui se multiplient. Elles ont fait des milliers de morts et au moins deux millions de déplacés et sont en partie à l’origine de deux coups d’Etat militaires en 2022.