L’appel à manifester organisé par le Syndicat de la presse professionnelle de Guinée (SPPG), a plongé le pays dans le chaos. Venus couvrir la déclaration du SPPG, des journalistes ont été arrêtés et violentés par les forces de l’ordre, à la Maison de la Presse.
Sept d’entre eux viennent d’être arbitrairement arrêtés par la gendarmerie, dont Foulamory Bah du « Courrier de Guinée » et Naby Laye Camara de Djoma TV.
Salon nos confrères du site d’information Avenirguinee, l’attaque notée à la Maison de la presse est un acte condamnable et l’arrestation de journalistes soulève des préoccupations sérieuses.
Par ailleurs, certains journalistes arrêtés restent injoignables.