Me Bamba Cissé, avocat de Ousmane Sonko, est confiant quant à une nouvelle manche à la Cour suprême dans le dossier sur la réintégration de Ousmane Sonko sur les listes électorales. « Le pourvoi en cassation que les avocats de l’Etat envisagent est impertinent, estime-t-il. Il n’est pas suspensif. Il faut donc retenir que Sonko reçoit à partir d’aujourd’hui tous ses droits ».
L’avocat invite « les avocats de l’Etat à ne pas prendre cette décision parce qu’ils n’ont aucune chance ». « Nous allons vers des élections inclusives et participatives paisibles. Ce qui est important à notre niveau est que Ousmane Sonko sera candidat”, a–t-il déclaré.
Pour rappel, la justice a ordonné ce jeudi la réintégration sur les listes électorales de l’opposant Ousmane Sonko, relançant sa candidature à la présidentielle de février 2024. Elle a confirmé un jugement rendu en octobre par le tribunal de Ziguinchor qui avait été cassé par la Cour suprême mi-novembre. Cette décision remet dans la course l’opposant qui avait été radié des listes après avoir été condamné à deux ans de prison en juin dans l’affaire Adji Sarr.
Me Bamba Cissé, avocat de Ousmane Sonko, est confiant quant à une nouvelle manche à la Cour suprême dans le dossier sur la réintégration de Ousmane Sonko sur les listes électorales. « Le pourvoi en cassation que les avocats de l’Etat envisagent est impertinent, estime-t-il. Il n’est pas suspensif. Il faut donc retenir que Sonko reçoit à partir d’aujourd’hui tous ses droits ».
L’avocat invite « les avocats de l’Etat à ne pas prendre cette décision parce qu’ils n’ont aucune chance ». « Nous allons vers des élections inclusives et participatives paisibles. Ce qui est important à notre niveau est que Ousmane Sonko sera candidat”, a–t-il déclaré.
Pour rappel, la justice a ordonné ce jeudi la réintégration sur les listes électorales de l’opposant Ousmane Sonko, relançant sa candidature à la présidentielle de février 2024. Elle a confirmé un jugement rendu en octobre par le tribunal de Ziguinchor qui avait été cassé par la Cour suprême mi-novembre. Cette décision remet dans la course l’opposant qui avait été radié des listes après avoir été condamné à deux ans de prison en juin dans l’affaire Adji Sarr.