« Nos enfants de la diaspora, une partie intégrante de notre souveraineté culturelle et les garants de notre Intégration africaine future ! » par M. DIA Québec-CANADA
Québec, le 29 février 2024: « Silence…… ! la Fratrie DIA enlevée à l’école &
la garderie puis séparée dans deux familles québécoises différentes. »
la garderie puis séparée dans deux familles québécoises différentes. »
Québec, le 13 mai 2024: « Silence…! Nouveau-né de 5 jours forcé d’arrêter son allaitement maternel et placé en famille d’accueil. »
DU LAIT CONGELÉ DONNÉ AU NOUVEAU-NÉ PAR LA FAMILLE D’ACCEUIL…!
Ce 07 octobre 2024, après une journée d’audience sans avocat pour la famille DIA, le juge ordonna le retour du dernier enfant de la fratrie DIA, enlevé depuis le 29 février 2024 à l’école par la DPJ de Longueuil (Québec).
La loi sur la protection de la jeunesse est très bien claire là-dessus et a indiqué qu’un enfant ne peut être maintenu en famille d’accueil au-delà de 60 jours et pourtant l’enfant a été maintenu illégalement pendant 7 mois et quelques jours et sa petite aussi pendant au moins 5 mois.
L’enfant se plaignait toujours comment cela se fait que sa petite sœur, et son petit frère (le nouveau-né) soient retournés chez sa mère alors que lui non. Il comptait les jours et s’en plaignait; mais comprenez bien ici que c’est juste une forme de torture mentale et psychologique envers l’enfant par mesures de représailles contre le père qui a décidé de mener 2 ans de combats juridiques sans merci, sans avocat.
La famille d’accueil disait même que l’enfant ne parlait plus de son père ou de sa mère alors que c’était totalement faux mais avec les techniques d’interrogatoires foudroyantes du père, la famille d’accueil a perdu les pédales en audience. Cette dernière voulait juste voler l’enfant et c’est aussi simple que cela pour des allocations familiales fédérales versées à la famille d’accueil.
Est-ce donc un trafic d’enfants bien organisé ?
Le père continue toujours de subir 2 ans de supervision dans les bureaux de la DPJ avec ses 3 enfants dans une petite salle de lunch et les enfants veulent jouer au ballon ou autre; les enfants se sont plaints qu’ils ne veulent plus venir au bureau de la DPJ et veulent rester avec leur père chez lui; mais comprenez toujours que c’est encore une technique de torture mentale et psychologique envers les enfants et le père, cautionnée toujours par le juge qui ordonne ces mesures inhumaines depuis deux ans.
La mère pendant sa grossesse avait aussi eu droit à des visites supervisées quand ses enfants avaient été enlevés et c’est une technique de torture mentale et psychologique validée et cautionnée par certains juges dans le dossier de la fratrie DIA. Est-ce du racisme ou de l’esclavage juridique moderne?
L’Ambassade du Sénégal à Ottawa avait d’ailleurs rencontré la DPJ en juillet 2024 et avait demandé à voir la mère et les enfants mais la DPJ n’avait toujours pas fixé de date jusqu’à maintenant; c’est une totale violation des règles diplomatiques et de la Convention de Vienne sur les relations diplomatiques mais surtout une prise d’otages déguisée.
La DPJ de Longueuil cachait juste le fait que l’un des enfants à eu des traumatismes à la suite des menaces de monstres et la police appelée contre elle (une enfant de juste 5 ans et demi) par la famille d’accueil car elle voulait juste rentrer chez elle.
Quant à la mère, elle subit toujours un lavage de cerveau dans une maison d’hébergement afin qu’elle adopte les théories féministes ou des lobbies sinon elle ne va pas récupérer les enfants.
Tout cela c’était juste pour essayer de donner du sens à un jugement de 2023 truffé de faux et écritures en faux à 90% par un juge suppléant retraité falsificateur dont l’objectif principal c’était de cautionner un enlèvement futur de nos enfants. Une totale escroquerie au procès.
Ce même juge complice de falsifications, avait même accusé à tort l’Ambassade du Sénégal à Ottawa de n’avoir pas respecté la confidentialité alors que c’était totalement faux.
Aujourd’hui, un autre juge est saisi du dossier et on verra s’il va bien réviser le faux jugement de 2023 ou juste prolonger de nouveau les faux, écritures en faux mais sachez que pendant les audiences toujours en cours à la Chambre de jeunesse, des menaces voilées ont toujours été faites à la mère afin de la forcer à reconnaître les faussetés inscrites dans le jugement de 2023 afin decouvrir le juge falsificateur précédent.
Leur objectif principal (DPJ & juges falsificateurs) c’est qu’elle fasse de fausses accusations contre le père alors que l’on nous a forcé à vivre séparé depuis 2022 maintenant; ce qui est en totale violation de notre mariage religieux sénégalais célébré à la Mosquée de Mermoz dans l’unique objectif d’écarter le père protecteur.
Cette technique c’était juste afin de voler plus facilement les enfants avec des faux-semblants de procès en vue d’enlèvement d’enfants sénégalais.
Les allocations fédérales que percevaient les enfants ont été détournées par la DPJ de Longueuil alors que 2 des enfants sont rentrés depuis plusieurs mois maintenant et que le dernier vient juste de rentrer chez sa mère.
Comment donc un organisme provincial peut aussi simplement détourner des allocations fédérales de juridiction fédérale ? Telle est la vraie question à se poser?
Depuis 2 ans, nous avons payé 2 logements séparés, depuis 2 ans, le père continue de payer des procédures juridiques qui finissent par des falsifications de preuve afin de remplir juste les caisses.
Tout cela, pour dire enfin que c’est avec une très grande satisfaction que j’ai accueilli le fait que notre cher Président, son Excellence Bassirou Diomaye Diakhar Faye, ait demandé à ce que le gouvernement renforce l’assistance aux sénégalais de l’extérieur lors du Conseil des ministres de ce mercredi dernier 09 octobre 2024.
C’est dans cette même optique que je vous sollicite ici ouvertement vous, le chef du gouvernement, notre Premier Ministre Ousmane Sonko, à ce que vous preniez svp en main dès maintenant et personnellement le suivi de notre dossier auprès de son Excellence Madame le Ministre de l’intégration africaine et des affaires étrangères afin que des mesures ci-dessous soient prises :
• Une protection immédiate pour les enfants et la famille.
• Une rencontre immédiate pour une demande d’explications de l’Ambassadeur du Canada au Sénégal car comment de telles violations des droits humains sur des enfants et des parents peuvent encore avoir lieu depuis 2022 sur le territoire canadien sans pour autant que le Fédéral n’y mette pas immédiatement fin malgré tous les traités internationaux de droits humains signés par le Canada et le Québec.
• La rencontre immédiate du Délégué général du Québec à DAKAR (DGQD).
• Envisager la fermeture immédiate du Bureau du Québec à Dakar pour maltraitance et torture psychologique d’enfants sénégalais et non-respect de la Convention de Vienne sur les relations diplomatiques.
• Demander à ce que Québec puisse réparer le préjudice infligé aux enfants et aux parents.
• Demander à l’Ambassade du Sénégal à Ottawa de recueillir la plainte du père pour transmission aux autorités judiciaires sénégalaises pour ouverture d’une enquête judiciaire et d’apporter également une assistance juridique patriotique car une autre audience est prévue ce 23 octobre 2024.
Le père envisage aussi la mise en place future d’une association pour protéger tous les enfants de la diaspora et il pourra apporter son expertise à toute famille sénégalaise et on travaillera de concert avec l’Ambassade si nécessaire. Cette association pourra aussi venir en aide des pères de famille victimes de certaines femmes non vertueuses qui ne font que des enfants pour des raisons financières en vue de nourrir leurs propres familles biologiques au lieu de privilégier l’avenir de leurs propres enfants.
Qu’Allah vous facilite vous ainsi qu’à notre Président de la République du Sénégal, son Excellence Bassirou Diomaye Diakhar Faye, face à cette lourde tâche entachée également par les forces occultes de ce Nouveau-Monde.
La situation de nos enfants ne fait que refléter la réalité indubitable du discours percutant de notre Président de la République du Sénégal aux Nations-Unies : qui aurait imaginé qu’au 21ème siècle de telles privations de liberté, de violations de droits Humains puissent avoir dans les salles d’audience au Québec depuis 2 ans dans un pays nommé le Canada ?
On attend la réaction du plus Haut Tribunal canadien dans ce dossier.
Je ne saurai terminer sans pour autant renouveler ma gratitude envers Monsieur Ibrahima Diop, ancien chef du protocole, rappelé récemment à Dakar, qui a fait un excellent suivi dans ce dossier même s’il n’avait pas eu le soutien nécessaire des autorités de l’ancien régime.
Je remercie surtout Seneweb, Sunugal24 qui n’ont cessé d’apporter leur soutien pour le retour des enfants DIA.
M.DIA