«Le ‘Beuleup’ incarne la continuité des traditions en lien avec la sagesse des ancêtres et un rappel pour s’inspirer d’une bonne pratique de gouvernance dans la conduite des affaires publiques», a souligné Bacary Sarr.
Selon lui, le rôle du « Beuleup » est primordial pour guider la communauté, mais aussi pour préserver et promouvoir les valeurs culturelles. «Le chef de l’État et son Premier ministre sont attachés à la revalorisation des patrimoines matériel et immatériel. C’est pourquoi le gouvernement réitère son engagement à soutenir le patrimoine qui est l’un des piliers de la renaissance africaine», a-t-il rapporté.
« À travers la Direction du patrimoine culturel au cours de la présente gestion budgétaire, j’assure l’engagement de mon département », a promis le secrétaire d’État à la Culture et aux Industries créatives.
Cet événement constitue « un facteur d’inclusion remarquable d’un repère pour la famille Ndao, mais également pour toute la population sénégalaise face à la menace d’une perte de l’héritage culturel et du désintérêt de la jeunesse dans ce contexte de mondialisation », a déclaré Momath Talla Ndao, secrétaire d’État au ministère de l’Urbanisme et au Logement.
À retenir que le nouveau « Beuleup » Momar Talla Ndieme Ndao est né en 1947 à Kaffrine. Il est le petit-fils du dernier « Beuleup » Ibrahima Ndao.