Le mis en cause rejette l’accusation. «Je ne l’ai jamais fait chanter. Elle m’envoyait beaucoup de vidéos sans que je lui en demande. La vidéo qu’elle m’a envoyée dernièrement se trouvait dans mon IPhone», conteste-t-il. Repris par Les Echos, il jure qu’il n’allait jamais mettre sa menace à exécution car il s’agissait surtout, se défend-il, «de se sauver» : «Je ne pouvais plus la satisfaire sexuellement parce qu’elle voulait à chaque fois qu’on se voit qu’on couche ensemble. Je n’en pouvais plus. Du coup, elle ne cessait de me harceler. Elle se permettait de venir chez moi à 23h. C’est pour cela que je lui ai envoyé ces messages pour qu’elle me laisse en paix. J’ai tout fait pour me sauver de ses griffes. [En vain].»
Dione, qui n’a pas commis d’avocat pour assurer sa défense, a été finalement relaxé des délits de violences et voies de fait et de collecte illicite de données à caractère pornographique, souligne le journal.