Qu’il concrétise cet engagement en enfilant un treillis et en s’armant jusqu’aux dents (même au-dessus s’il le souhaite) et aille se battre sur le front avec son pote le clown-président dans ce pays avec lequel nous n’avons aucun lien de défense, mais avec lequel nous avons trahi la confiance des Russes par la signature et le non-respect des accords de Minsk par Hollande, trahissant ainsi la parole de la Nation française1.
Qu’il parte guerroyer avec Olaf, casque à pointe vissé sur le crâne et Joe le cow-boy armé de ses colts et sa winchester, sans oublier Ursula pour la popote et Charles2 pour le service.
Les Français ne veulent pas la guerre.
Nous n’avons rien à faire en Ukraine, sinon participer à une aide humanitaire. La France glisse vers le chaos programmé pour l’engloutir dans la mondialisation imposée par une oligarchie financière anglo-saxonne qui n’a d’autre choix qu’asservir le monde occidental pour survivre. La mission de Macron est clairement définie dans l’article 5 de la Constitution :
« Le Président de la République veille au respect de la Constitution. Il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l’État. Il est le garant de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire et du respect des traités. »
La France n’entre pas dans le champ du différend russo-ukrainien et il est plus urgent de s’occuper de la décadence de notre pays due à sa perte de souveraineté, la désindustrialisation, le chômage, l’insécurité, la justice, la « déséducation » nationale, l’immigration sauvage incontrôlée, la fraude sociale, la fraude fiscale… Avons-nous le temps et les finances nécessaires pour alimenter ce conflit entretenu par la seule volonté des Américains pour maintenir leur hégémonie sur l’Occident ? Notre dette est colossale, abyssale, démesurée… et nous gaspillons nos ressources pour satisfaire les volontés de l’oligarchie financière anglo-saxonne manipulant la marionnette ukrainienne3.
Si un référendum posait la question : « la France doit-elle faire la guerre à la Russie et envoyer des militaires se faire tuer pour Zelensky » Quel serait le résultat ? Probablement entre 110 et 120% de NON A LA GUERRE.
« « Nous nous tenons aux côtés de l’Ukraine. Fermement. Et avec la détermination de l’accompagner vers la victoire et le rétablissement de ses droits légitimes », a déclaré Emmanuel Macron mercredi soir (8 février) à Paris, lors d’une déclaration conjointe avec le chancelier allemand Olaf Scholz et le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Après sa visite au Royaume-Uni, le président ukrainien s’est rendu à Paris pour un dîner de travail avec les chefs d’État et de gouvernement français et allemand.
« La Russie ne peut ni ne doit l’emporter », a déclaré M. Macron, avant d’ajouter que la France poursuivrait sa livraison d’armes en Ukraine.
Le chancelier allemand Olaf Scholz a déclaré au président ukrainien que les alliés soutiendront l’Ukraine face à l’invasion russe « aussi longtemps que nécessaire », notamment via une aide militaire.
« Nous nous sommes engagés aux côtés de l’Ukraine (…) et nous avons également soutenu l’Ukraine par le biais d’aide financière, d’aide humanitaire et de l’armement, de l’artillerie lourde, de la défense antiaérienne et, plus récemment, de la livraison de chars de combat, et nous continuerons à le faire aussi longtemps que nécessaire », a-t-il dit.
Récemment, Volodymyr Zelensky, qui craint une offensive russe au printemps, a demandé des chars lourds, des missiles à plus longue portée et des avions de chasse à ses alliés. Le président ukrainien a réitéré sa demande devant ses homologues français et allemand, après l’avoir fait avec le Premier ministre britannique Rishi Sunak.
« Plus tôt l’Ukraine obtient de l’armement lourd de longue portée, plus tôt nos pilotes obtiennent des avions, plus vite se terminera cette agression russe et nous pourrions revenir à la paix en Europe », a-t-il déclaré. « Nous avons très peu de temps », a-t-il prévenu.
Le président ukrainien a également souligné la « reconnaissance » de l’Ukraine envers Emmanuel Macron et Olaf Scholz.
« La France et l’Allemagne étaient aux côtés de l’Ukraine pendant tous ces mois », a-t-il dit, avant d’ajouter : « Nous avons garanti une forte unité, l’unité de l’Europe ».
« Nous nous tenons aux côtés de l’Ukraine. Ce qui se joue en Ukraine engage l’avenir de l’Europe. Nous plaidons le rétablissement des droits de l’Ukraine », a assuré Emmanuel Macron.
Les trois chefs d’État sont maintenant attendus à Bruxelles pour un Conseil européen extraordinaire les 9 et 10 février.
La participation de Volodymyr Zelensky au sommet est un « signal fort », a conclu Olaf Scholz. »
Note de l’auteur : À 77 ans je suis prêt à défendre mon pays, la France mais je refuse que le moindre centime de mes impôts serve nà alimenter financièrement et en armements une caste politique manipulée pour satisfaire les exigences de la fiance anglo-saxonne.