Comme depuis 2016, les quatre meilleurs troisièmes des six groupes sont qualifiés en huitièmes de finale de l’Euro. Plusieurs critères permettent de les distinguer.
Depuis l’édition française de 2016, l’Euro compte 24 participants. Pour départager les seize équipes engagées en huitièmes de finale, l’UEFA a concocté un ensemble de règles. Les deux premiers de chacun des six groupes sont automatiquement qualifiés pour la suite et les quatre meilleurs troisièmes les accompagnent.
1. Le plus grand nombre de points obtenus.
2. La meilleure différence de buts.
3. Le plus grand nombre de buts marqués.
4. Le plus grand nombre de victoires.
5. Le classement du fair-play (un carton jaune retire un point, deux cartons jaunes dans un même match ou un carton rouge soustraient trois points).
6. La position dans le classement général des qualifications. Si le pays hôte est concerné, en l’occurrence l’Allemagne, un tirage au sort départagera les équipes.
Lors de la toute première expérimentation de cette formule, la Slovaquie, l’Irlande, le Portugal et l’Irlande du Nord continuaient la compétition, aux dépens de la Turquie et de l’Albanie. Troisième de ce mini-championnat grâce à son plus grand nombre de buts marqués, la Seleção Das quinas avait soulevé le trophée Henri-Delaunay en fin de parcours.
Cinq ans plus tard, cette formule avait encore bénéficié aux coéquipiers de Cristiano Ronaldo, ainsi qu’à la Tchéquie, à la Suisse et à l’Ukraine. Les trois dernières équipes citées s’étaient arrêtées en quarts. La Finlande et la Turquie étaient éliminées.