L’ancien journaliste de Jeune Afrique persiste et signe. « Je n’ai diffamé personne, j’ai dit des faits étayés par tous les organismes spécialisés sur la question. Je le répète, je ne cherche rien d’autres que de faire mon métier en respectant la sacralité des faits », a-t-il répondu aux enquêteurs.
Repris par Libération, il ajoute : « J’étais dans une posture journaliste de restitution des faits dans leur authenticité ».
Contacté par le journal, l’un des avocats du leader de Pastef, Me Bamba Cissé dément l’information selon laquelle « son client est l’auteur de la plainte contre Cheikh Yérim Seck ». Il semblerait que le parquet s’est autosaisi, avance le quotidien d’information.