Les travaux du renouvellement du Conseil Communal de Tiakadougou Faraba ont eu lieu ce samedi 6 juillet 2024 dans les locaux de la maison des jeunes du cercle de Ouélessebougou. Ces travaux étaient présidés par M. Émile Diarra, Préfet du cercle de Ouélessebougou.
La commune rurale de TIAKADOUGOU Faraba, à l’instar des autres communes, a procédé au renouvellement de son bureau du conseil communal des jeunes à Ouélessebougou, préfecture de Faraba. À l’issue duquel, un bureau de 12 membres a été mis en place dont M. Bakary BAGAYOKO tient la tête.
À sa sortie du conseil, M. BAGAYOKO, Gestionnaire des Ressources Humaines, a accordé une courte interview à la presse sur son élection. S’adressant aux hommes des médias, il s’est dit heureux d’avoir eu la confiance des jeunes de Faraba. 《 Je suis animé d’un sentiment de fierté, de joie et de reconnaissance à l’égard des jeunes de Faraba qui ont accepté que je préside leur conseil communal pour un certain temps 》, a-t-il affirmé. Aussi ajoute-t-il, les jeunes sont et demeurent les forces vives quand il s’agit de l’avenir de toute nation. Poursuivant son allocution, le gestionnaire des Ressources Humaines a abordé les tares de sa commune. À l’en croire, le retard de la commune rurale de Faraba est dû à l’absence totale d’une jeunesse vivante, convaincue et engagée. Au cours de son intervention, le président Bakary BAGAYOKO a fait savoir qu’il s’attellera, dés sa prise de fonction, à regrouper tous les jeunes de sa contrée de près ou de loin pour qu’ils soufflent dans la même trompette et cela pour le bien-être de la commune. Car, dit-il, pour une jeunesse unie et soudée, rien n’est possible dans la commune. Si les jeunes ne s’entendent pas, ils resteront en proie aux prédateurs politiques à chaque veille des éventuelles élections.
Ce sont les jeunes et les femmes qui sont au premier rang de toute action visant la commune. Concluant ses propos, le patron des jeunes de Tiakadougou Faraba a déclaré qu’il preside un bureau de douze membres dont le mandat sera prochainement révélé à la presse.
YAH ZANFING DOUMBIA