Lors de cette CAN 2023 en Côte d’Ivoire, les arbitres n’ont pas échappé aux critiques des équipes participantes. Ces hommes en noir peuvent toutefois compter sur le soutien de la Confédération Africaine de Football (CAF) .
Les « perdants » critiquent « toujours »‘ l’arbitrage
En effet, un expert de l’instance a déclaré lors d’une discussion technique hier lundi, que le « niveau de l’arbitrage » était « très élevé ». Quant aux critiques, elles proviennent « toujours » du côté des « perdants », a t-il assuré
Joseph Antoine Bell qui participait également à la discussion, a abondé dans le même sens que lui. Pour l’ex-gardien de but des Lions indomptables du Cameroun, il y a désormais l’assistance vidéo qui permet aussi aux téléspectateurs d’apprécier les actions litigieuses depuis leurs salons.
« Ceux qui sont à la VAR voient la même chose que ceux qui regardent la télé »
« L’arbitrage est en équipe. Ce n’est donc plus l’arbitre qui est tout seul au milieu et qui fait quelque chose. Le règlement fait que si à la maison, (parce que ceux qui sont à la VAR voient la même chose que ceux qui regardent la télé dans leur salon) vous pensez qu’il y a une erreur, alors on appelle l’arbitre pour lui signaler qu’il se trompe et qu’il doit venir revoir l’action. Donc s’il le fait, et qu’il prend une décision, vous ne pouvez pas l’accuser parce que ça veut dire que toute l’équipe d’arbitrage a jugé qu’il ne se trompait pas. Donc, toutes les équipes qui courraient après un match pour s’en prendre à l’arbitre, soyez sûr qu’elles se trompent », a déclaré l’ex-international camerounais.
Le nom de leur « hôtel est gardé secret »
Il informe par ailleurs, que les « arbitres n’ont pas de contact avec l’extérieur en dehors des matchs ». Dès qu’ils finissent de diriger une rencontre, ils « retournent dans leur hôtel dont le nom est gardé secret ».