D’après Les Échos, deux des propositions de révision du Code pénal issues des Assises de la justice dont les conclusions ont été transmises au Président Diomaye Faye, irritent les «acteurs religieux (Église et associations islamiques)». Il s’agit, précise le journal, de celles demandant d’autoriser l’avortement médicalisé en cas de viol ou d’inceste suivi de grossesse, et de relever l’âge de la majorité sexuelle à 18 ans pour les femmes. La seconde proposition vise les adultes qui, s’abritant derrière la coutume, consomment leur mariage avec des filles de 13 ans par exemple.