Tout est parti, narre le journal, des confessions faites, la semaine dernière, par la belle-fille en question, Nd. C. S., à son oncle maternel, accusant son beau-père, un peintre domicilié avec sa famille au populeux quartier de Diamaguene de Nguékokh, de l’avoir violée à plusieurs reprises.
D’après elle, son présumé violeur profite des absences de sa mère pour la contraindre à des rapports sexuels. Elle lui a aussi confié que cela faisait plusieurs mois qu’elle n’avait plus eu ses règles. L’oncle avertit la mère. Les deux conduisent aussitôt la jeune fille à la structure sanitaire où après l’examen gynécologique mentionne la perte hyménale ainsi qu’une grossesse de 4 mois et 2 semaines.
En possession du dossier médical, l’épouse va déposer une plainte contre son mari à la Brigade de gendarmerie de la localité. La présumée victime confiera aux enquêteurs que son beau-père l’obligeait à garder le silence par des menaces. Le prévenu a nié les accusations de sa fille adoptive. Mais, il sera confronté aux déclarations de son épouse. Celle-ci a révélé qu’en 2020, son époux a été surpris par des membres de leur famille en train d’entretenir des relations sexuelles avec la même fille.
Mais à l’époque, le diagnostic avait conclu que l’hymen de la victime était toujours intact. C’est ainsi qu’elle avait préféré sauver son ménage suite à un règlement à l’amiable.
Cette fois, le couple a volé en éclats.