Par la suite, «ses membres ont été privés de budget et contraints de rester chez eux» avant la suppression de la structure et le transfert de ses compétences à l’Autorité de régulation de la commande publique (Arcop).
Selon le quotidien d’information, «le contournement» du Conseil des infrastructures a été «la porte ouverte à tous les abus» dont plusieurs marchés de gré à gré évalués «rien que pour le premier trimestre de 2022» à près de 430 milliards de F CFA.
Dans le lot, la société Planet One, bénéficiaire d’un gré à gré de 113 milliards pour la construction et l’équipement de 15 centres de formation professionnelle, a été «épinglée» par les «Paradise Papers», grâce au Consortium international des journalistes d’investigation.