Dans un entretien paru ce lundi dans L’Observateur, le patron d’Albourakh a tiré le bilan de l’exercice, le jugeant positif. «La saison a été une réussite totale», s’exclame-t-il. S’il se garde de faire un bilan financier («ce n’est pas possible de dire la somme que j’ai dépensée pour cette saison»), il déclare pouvoir au moins dire qu’il ne doit aucun franc aux lutteurs qu’il avait engagés.
Quid de ses sources de financement pour une structure qui abordait sa première saison dans l’arène ? «C’est Aziz Ndiaye. Il est derrière moi, c’est lui qui me finance», révèle Baye Ndiaye dans l’entretien avec L’Observateur. C’est la seule personne qui m’aide dans le montage des combats en y mettant son propre argent.»
Le patron d’Albourakh jure qu’il ne sollicite aucune banque pour financer ses activités. Il confie que pour chaque événement, Aziz Ndiaye lui avance les fonds nécessaires et à la fin, il rembourse. «Il ne touche pas aux bénéfices parce que selon lui, il ne m’aide pas pour gagner quelque chose. Il nous a montré la voie», salue Baye Ndiaye.