Diallo, Seck et Tounkara ont été virés pour «fautes lourdes», d’après la direction de la CBAO, payant ainsi leur engagement aux côtés de leurs collègues dans leur combat pour, notamment, l’amélioration de leurs conditions de travail. Le ministre considère, d’après Les Échos, que les trois syndicalistes étaient dans leur rôle. De plus, poursuit le journal, Yankhoba Diémé laisse entendre que la sanction contre les agents concernés n’a pas été prise dans un «délai raisonnable», pointant que les faits incriminés auraient été commis le 17 octobre et le 4 décembre 2023 alors que le licenciement des délégués a été prononcé en février 2024.
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