La France n’acceptera plus de nouveaux imams « détachés », c’est-à-dire envoyés par d’autres pays, à partir du 1er janvier, affirme vendredi le ministre français de l’Intérieur Gérald Darmanin dans une lettre aux pays concernés par le sujet.
Les imams détachés encore présents sur le territoire ne pourront s’y maintenir sous ce statut « après le 1er avril 2024 », ajoute-t-il dans ce courrier que l’AFP a pu consulter, et qui s’inscrit en droite ligne des annonces faites en 2020 par Emmanuel Macron pour mettre fin à l’accueil de ces religieux à l’horizon 2024.