
La Basket-ball Africa league (BAL), c’est du beau jeu sur le parquet, du glamour alentour, du spectacle sons et lumières lors des intermèdes, des emplois et des salaires décents. Certes, on est loin des millions de dollars ou d’euros des joueurs NBA ou de l’Euroleague, mais il y a de quoi fouetter son niveau de vie, surtout pour les joueurs locaux.
«Pour chaque joueur qui joue dans la Basketball Africa League, on impose au club qu’il ait un salaire d’au minimum 1300 dollars [un peu plus de 750 000 F CFA] par mois», révèle le président de la BAL, Amadou Gallo Fall, dans des propos repris par L’Observateur.
Ce plancher respecté, les clubs peuvent mener la politique salariale de leur choix. «On n’impose pas des grilles de salaires», acquiesce Fall, qui révèle que certaines écuries qui en ont les moyens «peuvent payer 30 000 dollars [17,3 millions F CFA] à leurs jours».
En plus du salaire, les clubs de la BAL mettent à la disposition de leurs recrues, pour la durée de la compétition (4 mois maximum), le logement, la nourriture et des primes de performances.