Ibrahima Kébé Tamaguidé de l’Association politique Faso Kanu voit en l’avant-projet de constitution des coups de ciseaux magiques pour morceler le Mali. Dans le numéro 16 de Ye taa, le jeune leader estime que cet avant-projet de constitution est en réalité taillé sur mesure pour satisfaire une minorité dans la minorité qui a pris les armes contre toute la nation malienne. « Ce n’est vraiment pas le moment de réviser la constitution dans le seul but d’appliquer un accord illégitime, illégal. Un accord qui conduit à la division du Mali et à une guerre civile inter et intra-communautaire. Ni les militaires au pouvoir, ni les groupes rebelles armés de la CMA n’ont été mandatés pour détruire leur pays, à plus forte raison au bénéfice de l’impérialisme international et de ses alliés nationaux. Le Mali appartient aux maliens et ce sont eux qui doivent décider, tous ensemble, de leur sort. Ni au nord, ni au sud, ni ailleurs au Mali, les armes n’auront le dernier mot. Les rebelles armés ne peuvent pas vouloir vivre de l’argent des Maliens sans rien produire eux-mêmes, occuper des postes élevés dans l’administration malienne et vouloir détruire le Mali ».
Epargnez les gens de vos dessous sales
Chaque génération a ses modes en matière de comportement vestimentaire. Oui, la jeunesse malienne comme celle d’ailleurs, n’est pas en marge de cette réalité. Mais, certaines pratiques ne cadrent pas avec nos valeurs sociétales et ancestrales. C’est le cas actuellement avec les jeunes dont, nombreux sont à baisser leurs pantalons, laissant dehors leurs dessous souvent très sales.
Dans la plupart des cas, il est dégoutant de les regarder à cause du manque d’hygiène. Ces dessous changent même de couleur avec la saleté. Impossible d’approcher certains.
Elles ne portent pas de caleçon
Oui elles sont rares à porter un caleçon, nos sœurs et filles qui pensent être à la mode. Avec leurs pantalons collants et sexy, ce n’est pas la peine de porter un caleçon, pensent certaines. Pourtant, c’est une insécurité totale. Pantalon collé au ‘’cul’’ et aux fesses, c’est la mode. Mais, une mode qui ne colle pas à nos valeurs sociétales.
En circulation, deux jeunes filles bien plaquées venaient de faire un accident sur une moto djakarta. Celle de derrière s’est retrouvée avec l’entre-jambe de son pantalon collant déchiré jusqu’aux fesses. Malheureusement, les hommes sur place ont eu du mal à l’approcher car elle n’avait rien en-dessous. Il a fallu le secours d’une dame arrivée sur les lieux qui lui a prêté son foulard pour la couvrir.
Rassemblées par la Rédaction